• Tout doit être achevé pour le 7 avril...

     

    La porte vient de retrouver quelque couleur et une bonne couche de peinture protectrice

    Les travaux se poursuivent à la tribune...

    avec la restauration du plancher...

     

    et la mise en place d'une fermeture à claire-voie

    Vue de la nef depuis la tribune


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  • Intérieur de l'église Saint Astier

    Dessein de M. J.L Rebière Architecte en chef des Monuments historiques

     


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  •  K

     

    Résumé

    Non seulement Juif, mais rabbin, Juif orthodoxe puis loubavitch ! Mais voilà que l attirance du Christ en croix rencontré dans sa jeunesse en région parisienne se réveille avec la mort d un Juif converti, celle de Jean-Marie Lustiger, cardinal-archevêque de Paris. Ce récit dévoile l itinéraire d un croyant travaillé pendant de longues années, à l ombre de la basilique du Sacré-Coeur de Montmartre, par une contradiction apparemment irréconciliable : être Juif et aimer le Christ ! Jean-Marc Setbon, un temps prénommé Elie, devient Jean-Marie Elie Setbon au prix de souffrances que seul un amour intense peut aider à surmonter. Cet amour a un nom, c est Jésus, scandale pour les Juifs, folie pour les païens. Né en 1964 à Paris, Jean-Marie Elie Setbon a été baptisé dans l Église catholique le 14 septembre 2008. Il est veuf remarié et père de huit enfants. Théologien et exégète biblique, il donne des conférences, des retraites et des formations en s efforçant de faire goûter les richesses de la Parole de Dieu dans sa source juive et dans sa source catholique.
    Biographie de l’auteur: Jean-Marie Elie SETBON est né en 1964 dans une famille de confession juive. Baptisé catholique en septembre 2008 après avoir reçu une formation rabbinique, Jean-Marie Elie est missionné par Monseigneur Santier, pour donner des conférences et prêcher des retraites tous publics. Il poursuit par ailleurs des études en théologie, philosophie et magistère de l Eglise  
     
     
    "Pour les Juifs religieux, Jésus est le "diable". C'est pour cette raison que je suis assez sceptique concernant la sincérité du dialogue judéo-chrétien tel qu'il est pratiqué (même si sur le fond, il peut être très riche). Moi en tout cas, je peux vous dire qu'à cette époque où je suis Juif orthodoxe, pardonnez-moi l'expression, je n'ai absolument rien à faire des chrétiens ! Il est certain qu'il vaut mieux dialoguer que se taper dessus. Mais si on échange en passant sous silence ce qui fâche, ça ne sert à rien. Dans le dialogue, chacun, chrétien comme Juif, doit assumer ce qu'il croit et ne pas se renier pour faire plaisir ou pour plaire à l'autre. Si les chrétiens ont peur de parler de Jésus, ce n'est plus un échange. Chaque partie doit respecter l'autre dans ce qu'il est et dans ce qu'il croit mais sans avoir honte de parler de ce qu'elle vit."

    "J'aimerais donc rencontrer un catholique en dehors du cadre d'une église. Cependant, je ne sais pas comment y parvenir. En effet, l'Eglise catholique n'est jamais venue vers moi. Les Témoins de Jéhovah, oui, je m'en souviens ! Mais aucun catholique ne m'a jamais abordé dans la rue. Je n'ai jamais reçu de lettre du curé dans ma boîte aux lettres non plus. [...] A ce moment là, je me pose une question : où sont les catholiques ? Lorsqu'on les cherche, on ne sait pas où les trouver !"

    "Le cardinal Lustiger, au sujet des Juifs devenus chrétiens comme lui, parlait de Juifs accomplis. Je ne voudrais choquer personne, mais je ne suis pas d'accord avec lui. Je ne me considère pas comme un Juif accompli mais comme un Juif converti au Christ : on ne parle pas de Juifs accomplis dans les Actes des Apôtres, ni dans les Epitres de Saint Paul ni dans toute la sainte Bible. Les gens qui écoutaient saint Pierre, le chef de l'Eglise, lui demandaient : "que devons-nous faire ?". Il répondait : "convertissez-vous !". Il ne leur a pas demandé de devenir des Juifs accomplis en accueillant Jésus ! Une conversion c'est un renversement total ! Tout à coup on voir, on pense, on mange autrement. On a une relation différente avec les autres et avec Dieu."


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  • Même si elle a déjà été réouverte occasionnellement pour la messe de le nuit de Noël ou pour des célébrations d'obsèques, l'église de Catus retrouvera pleinement ses fonctions cultuelles avec la fête des Rameaux et la Semaine Sainte et puis...le 7 avril ce sera l'inauguration officielle après un an et demi de travaux...

    Les finitions battent leur plein...

     

    La grande porte décapée prête pour recevoir un traitement

     

    Les stalles du choeur de retour de l'atelier

     

     

    L'escalier du dortoir des moines ( futur escalier de secours quand cette salle sera ouverte au public) en voie d'achèvement

    Réfection du plancher de la tribune

     

    L'escalier de la tribune

     

    L'église a bien changé depuis un an et demi


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