• Procession de la Fête Dieu à Rocamadour

     

     

     

     Procession de la Fête Dieu à Rocamadour

     


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    Prier 15 jours avec Saint Louis

    Auteur : Michel Cool
    Editeur : Nouvelle Cité
    Collection : Prier 15 jours
    Nombre de pages : 125

    La commémoration du 800e anniversaire de la naissance et du baptême du roi Louis IX (25 avril 1214) est l'occasion de redécouvrir la figure du seul roi de France proclamé saint par l'Église catholique (en 1297). Quel genre d'homme était ce roi qui poursuivait l'idéal de devenir saint ? Que sait-on de sa personnalité, de son caractère, de sa physionomie ? Il avait, rapporte-t-on, « un air angélique et des yeux de colombe ». Mais, comme souvent, un visage d'ange peut être l'écran avenant d'une volonté de fer. Saint Louis (1214-1270) n'a pas été tendre avec ceux qui dans son royaume contrevenaient à ses ordres et moins encore avec ceux qui dans la chrétienté désobéissaient aux lois de Dieu, aux prescriptions de l'Église et à l'autorité du Pape.

    Laïc épris d'idéal évangélique, dirigeant éclairé par l'amour de Dieu et rompu au service des pauvres, orant lumineux, saint Louis se révèle dans ces pages comme un homme loin des clichés des livres d'histoire et toujours un exemple actuel par la cohérence et l'unité de sa vie.

    Présentation de l'éditeur


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  • http://www.laviequercynoise.fr/decouverte-un-pretre-insermente-ermite-a-st-cirq-lapopie-sous-la-revolution-52192.html

    C'est  l'histoire de l'abbé Jacques Perboyre, prêtre réfractaire sous la Révolution, caché des une grotte dans le Quercy :

    "Natif de Catus il avait été ordonné prêtre en 1787, et il avait déjà dû se cacher dans la grotte de Villaris, où il avait célébré un mariage… En 1791, âgé de vingt-huit ans, il est vicaire de Saint-Cirq-Lapopie. La Révolution se durcit, il échappe de peu à une arrestation, après que plusieurs habitants de Saint-Cirq ait accusé « ce perfide Perboire qui a desservi cette paroisse en qualité de prêtre, et qui fanatisait clandestinement les âmes faibles ». Désormais, on est en 1793, il doit se cacher. Aucune maison, grange, ou cabane, ne peut offrir de refuge suffisamment sur. Son sacristain, Jean Rouffies, dit Lacaze, tourneur de son état, l’amène alors à une grotte difficile à trouver, dans les rochers du flanc nord du cirque de Vènes. Profonde d’une dizaine de mètres, son ouverture est étroite, à peine un mètre, et très haute. Elle est voûtée et débouche sur le causse par de minuscules orifices. C’est le palais des courants d’air ! « Tel était l’endroit que Dieu avait ménagé à l’intrépide confesseur de la foi pour le soustraire à la persécution », nous dit un chroniqueur, cent ans plus tard. La nature lui offre toutefois, non loin de la cavité, un superbe et immense abri-sous-roche. Là, à l’abri d’un grand surplomb de rocher, il peut déambuler en lisant son bréviaire : soixante pas dans un sens, puis dans l’autre, c’est idéal !

    La nuit, très souvent, il gagne un petit château des environs, parfois une ferme, et il dit la messe pour ses ouailles mystérieusement averties. Il lui arrive même de délivrer le sacrement du baptême. Il ramène de ces sorties pain et victuailles. Il prend aussi le risque de sortir de jour pour aller assister des mourants, en utilisant des sentiers détournés. Le reste du temps, pour le ravitailler, la femme de Rouffies use d’un subterfuge. Elle part garder quelques brebis du côté du cirque, emportant aussi sa quenouille. S’assurant que personne ne peut l’observer, elle gagne le lieu où s’ouvre l’un des orifices précédemment évoqués, et elle y jette un baluchon où sont emballés pain frais et salaisons.

    Perboyre passe une année dans le cirque de Vènes. Puis son fidèle marguillier, qui subodore des trahisons possibles, le transfère dans une autre grotte, entre Vènes et Crégols, au-dessus du Lot. Il y restera jusqu’en 1795, ravitaillé par barque.

    L’orage politique estompé, Jacques Perboyre s’établira dans la cure d’Escamps, puis, jusqu’en 1805, dans celle de Varaire. Il sera plus tard professeur au Séminaire de Montauban.

    Pour ceux qu’intriguerait le nom de notre prêtre-ermite, confirmons qu’il s’agit bien de cette famille de Bouriane qui a produit le Bienheureux Gabriel Perboyre, né à Montgesty, martyr en chine. Jacques était un oncle du Bienheureux."

     

    Rappelons quand même que "le Bienheureux" a été canonisé par le pape Jean-Paul II et qu'il s'agit donc de saint Jean-Gabriel Perboyre


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  • La Sainte Coiffe à Rocamadour en 1935

     Reliquaire de la Sainte Coiffe ( cathédrale de Cahors)

     

    La Sainte Coiffe à Rocamadour en 1935

    La Sainte Coiffe exposée au milieu des reliques du diocèse ( devant l'autel en bas on reconnaît le reliquaire de saint Amadour)

    La Sainte Coiffe à Rocamadour en 1935

    L'arrivée en procession des reliques majeures du diocèse

    La Sainte Coiffe à Rocamadour en 1935

     Le reliquaire de la Sainte Coiffe sur le parvis

     

     


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