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comme tous les ans présente en ce Mardi Gras sur le marché de Catus pour vendre des crêpes et de la confiture. Les bénéfices de cette vente iront grossir les fonds de l'association pour participer à de nouveaux travaux... de sauvegarde.
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Ces gravures évoquent Rocamadour au début du XIXeme siècle. Après la révolution et des siècles de négligence il ne restait que des ruines
L 'arrivée du grand escalier au niveau des parvis
la façade de l'église ( aujourd'hui basilique) Saint-Sauveur
La montée au parvis de la chapelle Notre Dame. A droite dans le mur "Durandal" l'épée de Roland. Au dessus la chapelle Saint-Michel et les restes du balcon qui servait autrefois pour s'adresser aux foules de pèlerins. Celui-ci a été restauré au XIXeme siècle puis supprimé lors des restauration des années 1970.
Le cénotaphe dit "tombeau de saint Amadour". A droite l'entée de la chapelle Notre-Dame et la fresque "le dict des trois morts et des trois vifs"
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La renaissance de Rocamadour a débuté vers le milieu du XIXeme siècle avec un prêtre architecte auquel nous devons presque toutes les restaurations des sanctuaires : l'abbé Jean-Baptiste CHEVAL
Le parvis de la chapelle Notre Dame
Sur le parvis de la chapelle Notre-Dame gisant et tombeau dit de Saint-Amadour
La chapelle Notre Dame et le tombeau de Saint-Amadour
Le parvis vu depuis l'escalier qui conduit à la "crypte" (église inférieure) Saint-Amadour ou jusqu'à la restauration des années 1970 étaient conservées les reliques supposées du saint
L'escalier vers la chapelle Notre-Dame
Le magasin de souvenirs tenu par des religieuses ( de la congrégation de Gramat)
De 1858 à 1872, l'abbé Jean-Baptiste Cheval quitte Cazes-Mondenard dont il était curé et le diocèse de Montauban sous Mgr Doney, lequel lui accorde son exeat à la demande de Mgr Bardou, évêque de Cahors, à la recherche d'un architecte pour le titanesque chantier des restaurations des Sanctuaires de l'église de Notre-Dame de Rocamadour et de ses chapelles. C'est à lui que l'on doit la renaissance de Rocamadour
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C'est vraiment le coeur du pèlerinage avec sa statue célèbre de la vierge noire. Les efforts de l'abbé Cheval ont porté particulièrement sur ce lieu qui a été agrandi tout en essayant de lui conserver son âme. La piété des pèlerins a fait le reste... La chapelle peut paraître un peu encombrée...Ce n'est plus le cas aujourd'hui...
Un autel en bronze doré est venu replacer l'ancien retable du XVII-XVIIIème siècle ( mais celui-ci est conservé dans la chapelle Sainte-Anne)
Des ex-voto : bateaux portés en ce lieu par des marins reconnaissants de la protection de Notre-Dame de Rocamadour, des fers de prisonniers rendant grâce pour leur délivrance
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L'autel de l'église inférieure Saint-Amadour avant les travaux de restauration du XIXeme siècle. C'est dans cette église que fut conservé entre le XIIeme siècle et le XVIème ( ou il faut détruit par les troupes protestantes qui saccagèrent le sanctuaire) le corps supposé de l'ermite Saint -Amadour. Ensuite et jusqu'aux travaux de restauration des années 1970 les parcelles du corps qui avaient été recueillies étaient laissées à la vénération des fidèle dans un reliquaire
L'église Saint-Amadour avait été entièrement peinte au XIX eme siècle. En 1974 ces peintures furent supprimées. Au dessus de l'autel dans une niche on aperçoit le reliquaire de Saint-Amadour
Détail des peintures (aujourd'hui supprimées) de la chapelle
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