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Par Paroisse de Catus le 27 Juin 2015 à 13:38
L'abbé Jean-Baptiste Felix Caliste PUEL est né le 14 août 1859 à SAINT-JEAN de LAUR ( CAJARC). Il a été ordonné prêtre le 16 mai 1888 à CAHORS. Vicaire de DEGAGNAC, il devient curé de SAINT-JEAN des ARRADES en 1890 puis curé de LARNAGOL en 1891. Il devient curé de SAINT-MEDARD en 1900. Nommé curé de PUYBRUN en 1914. Il est décédé le 13 janvier 1922 à 62 ans
L'abbé Firmin DELSOY curé de Saint Médard 1899 ( collection Alain CAMBON)
L'abbé Firmin DELSOY est né le 22 octobre 1857 à MONTAMEL, il a été ordonné prêtre le samedi 3 juin 1883 à CAHORS. Vicaire de CATUS de 1882 à 1887, curé de SAINT-MEDARD en 1888 puis curé de CRESSENSAC en 1900.
Décédé le 2 avril 1929 à 71 ans
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Par Paroisse de Catus le 10 Juin 2012 à 14:04
Ce meuble de la fin du XVIIème siècle ou du début du XVIIIème était parti en restauration il y a un an environ . Le voici de retour...
Il s'agit en fait de la partie centrale d'un ancien confessionnal . Les ailes ont été probablement supprimées lors de son installation dans une chapelle latérale trop étroite . Il a retrouvé sa place dans la nef centrale .
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Par Paroisse de Catus le 10 Juin 2012 à 08:52
Saint Médard, l’un des plus célèbres pontifes de l’Église de France au VIeme siècle, naquit vers l’an 457, à Salency, en Picardie, de parents chrétiens . Son père est Nectar (ou Nectardus), un noble franc de la cour de Childéric Ier, et de Protagie (ou Protagia c'est-à-dire « première sainte » selon l'étymologie grecque), une noble Gallo-Romaine qui convertit son futur époux au christianisme .
Médard aurait eu un frère jumeau Godard (ou Gildard), ainsi qu'une sœur Médrine..
La jeunesse de Médard fut remarquable par sa grande compassion pour les pauvres et les malheureux ; il s’assujettissait à des jeûnes rigoureux, afin de leur distribuer sa nourriture. Un jour, il rencontra un mendiant aveugle qui était presque nu ; il se dépouilla de son habit pour l’en revêtir ; et comme on lui demandait ce qu’il en avait fait, il dut répondre qu’il l’avait donné à un pauvre aveugle dont la misère l’avait touché.
La légende rapporte qu’un jour, son père, revenant de la campagne avec un grand nombre de chevaux, le chargea de les conduire dans un pré et de les y garder en attendant l’arrivée de ses domestiques. Tout à coup Médard aperçut un villageois chargé de harnais qu’il portait à grand-peine : "Eh ! mon ami, lui dit l’enfant, pourquoi vous chargez-vous d’un si pesant fardeau ? — C’est, répondit le paysan, que mon cheval vient de périr par accident ; j’emporte ses harnais, mais sans espoir de pouvoir acquérir un autre cheval." L’enfant, ému de compassion, prit un des chevaux confiés à sa garde et le força de l’emmener. Le Ciel témoigna par un prodige combien cet acte de charité Lui était agréable ; car, après que Médard eu rendu compte à son père de son action, on trouva le nombre des chevaux complet.
De plus, tous les gens de la maison virent un aigle couvrir Médard de ses ailes pendant une grosse pluie qui était tout à coup survenue.
Il fit ses études ecclésiastiques avec son frère à Vermand près de Saint-Quentin. Remarqué par Alomer, l'évêque de Vermand, ce dernier l'élève au sacerdoce en 489. Il vécut ensuite à la cour de Childéric Ier, puis de Clovis. Lorsque ce dernier déménagea pour Soissons, vers 486, Médard préféra rester à Tournai.
Les tables de l'église de Rouen disent que lui et son frère assistèrent saint Remi, lors du baptême de Clovis en la cathédrale de Reims en 496.
Vers 530, à la mort d’Alomer, il fut nommé à sa place par l'évêque saint Remi de Reims, à la demande des habitants de Vermand qui réussirent à le convaincre car il se trouvait trop âgé pour le poste4. Il s'installa dès 531 à Noyon, ce qui est à l'origine du transfert du siège épiscopal. Les motifs restent discutés. La tradition de l'église de Noyon l'explique par une dévastation de Vermand lors des guerres entre les rois mérovingiens et par la présence d'une très petite enceinte à Noyon, plus aisée à défendre. Mais Médard était natif de Salency, village voisin de Noyon. La proximité de la capitale de Soissons peut aussi avoir joué un rôle. En 532 à la mort de saint Éleuthaire évêque de Tournai, les habitants de cette ville le réclamèrent comme évêque. Il refusa d'abord mais le roi Clotaire insista et il accepta. Il fut alors nommé par le pape Hormisdas à l'épiscopat de Tournai, unifiant le diocèse de Tournai avec celui de Noyon (union qui dura jusqu'en l'an 1146). À Tournai il réussit à convertir un grand nombre d'idolâtres et consacra Radegonde au degré de diaconesse.
La dignité épiscopale ne lui fit rien retrancher de ses pénitences. On vit ce saint vieillard, à l’âge de soixante-douze ans, parcourir les villages, les bourgs et les hameaux, prêchant, consolant son peuple, administrant les sacrements avec un zèle infatigable. Il étendit le règne de la foi en quelques parties de son diocèse demeurées païennes . Il mourut à Noyon vers 545, ses reliques furent transportées près de Soissons où fut érigée l'abbaye Saint-Médard. Des reliques de Médard ont été conservées dans l'église Saint-Médard à Paris et s'y trouvent encore .
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Par Paroisse de Catus le 3 Avril 2012 à 14:43
MAIGNOL Pierre
Né le 8 octobre 1804 à Saint-Médard
ordonné le jeudi 18 mai 1837, à Cahors.
Vicaire de Souillac, curé de lachapelle-Auzac, de Saint Cirq Madelon en 1848, de Rouffilhac en 1859 .
Décéqé le 23 février 1876
MAIGNOL Jean-Pierre
Né le 27 janvier 1845 à Saint-Médard
Ordonné le samedi 7 juin 1873, à Cahors
Vicaire de Douelle, de Saint-Siméon en 1874, curé de Lavercantière en 1908 . Retiré à Saint-Médard en 1924
Décédé le 10 septembre 1929
COUTURE Camille
Né le 14 avril 1887 à Saint-Médard
Ordonné prêtre le dimanche 26 juin 1910, à Cahors
Vicaire de Souillac . En congé en 1913
Décédé le 17 mars 1914 (26 ans)
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