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Par Paroisse de Catus le 16 Février 2015 à 12:18
Ces gravures évoquent Rocamadour au début du XIXeme siècle. Après la révolution et des siècles de négligence il ne restait que des ruines
L 'arrivée du grand escalier au niveau des parvis
la façade de l'église ( aujourd'hui basilique) Saint-Sauveur
La montée au parvis de la chapelle Notre Dame. A droite dans le mur "Durandal" l'épée de Roland. Au dessus la chapelle Saint-Michel et les restes du balcon qui servait autrefois pour s'adresser aux foules de pèlerins. Celui-ci a été restauré au XIXeme siècle puis supprimé lors des restauration des années 1970.
Le cénotaphe dit "tombeau de saint Amadour". A droite l'entée de la chapelle Notre-Dame et la fresque "le dict des trois morts et des trois vifs"
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Par Paroisse de Catus le 16 Février 2015 à 12:06
La renaissance de Rocamadour a débuté vers le milieu du XIXeme siècle avec un prêtre architecte auquel nous devons presque toutes les restaurations des sanctuaires : l'abbé Jean-Baptiste CHEVAL
Le parvis de la chapelle Notre Dame
Sur le parvis de la chapelle Notre-Dame gisant et tombeau dit de Saint-Amadour
La chapelle Notre Dame et le tombeau de Saint-Amadour
Le parvis vu depuis l'escalier qui conduit à la "crypte" (église inférieure) Saint-Amadour ou jusqu'à la restauration des années 1970 étaient conservées les reliques supposées du saint
L'escalier vers la chapelle Notre-Dame
Le magasin de souvenirs tenu par des religieuses ( de la congrégation de Gramat)
De 1858 à 1872, l'abbé Jean-Baptiste Cheval quitte Cazes-Mondenard dont il était curé et le diocèse de Montauban sous Mgr Doney, lequel lui accorde son exeat à la demande de Mgr Bardou, évêque de Cahors, à la recherche d'un architecte pour le titanesque chantier des restaurations des Sanctuaires de l'église de Notre-Dame de Rocamadour et de ses chapelles. C'est à lui que l'on doit la renaissance de Rocamadour
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Par Paroisse de Catus le 16 Février 2015 à 12:03
C'est vraiment le coeur du pèlerinage avec sa statue célèbre de la vierge noire. Les efforts de l'abbé Cheval ont porté particulièrement sur ce lieu qui a été agrandi tout en essayant de lui conserver son âme. La piété des pèlerins a fait le reste... La chapelle peut paraître un peu encombrée...Ce n'est plus le cas aujourd'hui...
Un autel en bronze doré est venu replacer l'ancien retable du XVII-XVIIIème siècle ( mais celui-ci est conservé dans la chapelle Sainte-Anne)
Des ex-voto : bateaux portés en ce lieu par des marins reconnaissants de la protection de Notre-Dame de Rocamadour, des fers de prisonniers rendant grâce pour leur délivrance
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Par Paroisse de Catus le 16 Février 2015 à 11:58
L'autel de l'église inférieure Saint-Amadour avant les travaux de restauration du XIXeme siècle. C'est dans cette église que fut conservé entre le XIIeme siècle et le XVIème ( ou il faut détruit par les troupes protestantes qui saccagèrent le sanctuaire) le corps supposé de l'ermite Saint -Amadour. Ensuite et jusqu'aux travaux de restauration des années 1970 les parcelles du corps qui avaient été recueillies étaient laissées à la vénération des fidèle dans un reliquaire
L'église Saint-Amadour avait été entièrement peinte au XIX eme siècle. En 1974 ces peintures furent supprimées. Au dessus de l'autel dans une niche on aperçoit le reliquaire de Saint-Amadour
Détail des peintures (aujourd'hui supprimées) de la chapelle
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Par Paroisse de Catus le 16 Février 2015 à 11:52
L'intérieur de la basilique tel qu'il se présentait dans les années 1950. Elle n'a retrouvé cette orientation primitive que récemment
La tribune qui aujourd'hui n'a été conservée qu'au fond de la basilique contre le rocher se poursuivait alors sur les côtés latéraux mais sur un seul étage (alors qu'il y en a deux au fond). L'orgue était placé presque au dessus de la porte de la sacristie ( mais décalé sur la gauche) . On le devine sur la photo au bout à gauche...
Le grand Christ de bois qui donne son nom à la basilique : Saint-Sauveur. Il était alors planté dans le sol et non fixé sur le mur comme aujourd'hui
La basilique est une église à deux nefs de trois travées chacune. Il y avait donc un autel central dans la grande abside et deux autels latéraux. Après les travaux de restauration des années 1970 l'église avait perdue son orientation et l'autel était placé contre un mur latéral.
Comme l'église Saint Amadour la basilique était entièrement peinte
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